En cliquant ici  vous pourrez inscrire votre site de généalogie si vous souhaitez le rendre public.

Christine IRIBARNE - MASSARDIER 

Addiction : généalogie...

 
Cette passion pour la généalogie est née très jeune, vers mes 16 ans. Peut-être parce que ma grand-mère et sa sœur me faisaient voir des photos de leur famille. Peut-être parce que je garde un souvenir intarissable de « la maison de famille ».
Mes grands-parents que je n'ai pas eu la chance de connaître et ceux que j'ai perdus trop tôt m'ont donné envie d'en connaître plus sur leur vie quotidienne.
Mon but est naturellement de remonter le plus loin possible dans les générations et aussi de transmettre aux générations futures. Mais n'étant qu'un maillon de la chaîne, ma priorité s'est naturellement portée vers un travail de détective qui m'a permis de rencontrer les plus anciens et de les interroger sur leur vie, leurs ancêtres ... Je ne regrette rien : les archives sont toujours là ; certains de mes ancêtres sont malheureusement partis, mais heureusement leurs souvenirs restent et ils sont toujours vivants dans mon cœur.
Les archives sont toujours là ; mais pour combien de temps encore ? Ne les laissons pas être piratées pour qu’elles ne restent pas elles aussi, qu’un souvenir !
Il est encore temps de réagir et c’est la raison pour laquelle nous avons mis ce site en place : pour réagir pacifiquement mais avec détermination.  
Si vous ne l’avez déjà fait, pensez à télécharger nos badges et affiche pour en user et en abuser !

Site personnel - Membre des cercles : Club Généalogique Sud Saintonge - CTFHS Cape Town - Gen&O - Membre des listes : Genea64 - Généagier - Geneoweb - Rhône Loire - Saintongenealogie – Archives Publiques Libres
Divers groupes Facebook.

Jean Louis DARRIÈRE

Quarante ans de Service public…

Retraité depuis quelques années, j'ai entamé des recherches généalogiques après le décès de ma mère, m'apercevant que je ne connaissais même pas les prénoms de mes grands-pères (décédés bien avant le mariage de mes parents ).

Je me suis pris au jeu et, après m'être heurté à tous les écueils, être tombé dans tous les pièges et avoir découvert les vertus de  l'entraide, je me suis moi-même lancé dans des dépouillements d'actes   pour mise à disposition gratuite de tous.

Très inquiet par les menaces que font peser sur le patrimoine commun des Archives, les appétits de la marchandisation à outrance, j'ai rencontré quelques personnes ayant les mêmes inquiétudes sur des  forums généalogiques qui partageaient ces craintes.

Nous avons tenté à quelques-uns de définir des actions à proposer à  tous pour faire valoir cette volonté de défense du Bien public et à centraliser toutes les informations des actions qui se font dans ce sens.

Site associatif (ouibemestre très amateur ) - Membre des Listes : CGW40 - Gen&O - CGW33 - Heredis Mac utilisateurs - Respectez mon Nom Accentué - Archives publiques Libres - Cousinsgenweb26.

Membre des cercles : Généalogie du Bas Adour - GHF Pays Basque Adour Maritime - CharnéGroupe.

Jean-François RUELLOT

Le doigt dans l'engrenage

J’avais déjà deux filles (suivies longtemps après par deux garçons) quand, en 1980, ma belle-soeur a eu l’idée saugrenue de mettre au monde un autre rameau féminin dans la famille.

Catastrophe ! Au cours du repas dominical suivant, mon père se lamentait parce que “le nom va se perdre, le dernier dont j’ai entendu parler était un dompteur qui s’est fait “bouffer” par des lions en Angleterre...”.

C’était parti, très artisanalement puisque je n’avais aucune connaissance en la matière et l’internet inexistant donc les annuaires dans les bureaux de Poste grâce aux 3 mn gratuites du Minitel, puis des timbres, carnets, papiers, crayons et la SNCF pour remonter le temps.

Je n’ai jamais arrêté et, avant son décès, j’ai pu montrer à mon père des photos du dompteur (tué par des tigres dans un cirque en Angleterre) et des “nids” de Ruellot dans le 22 et alentour. J’avais après des décennies de recherches rencontré la veuve et le fils du dompteur.

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